Site de l’exposition et toutes les vues de l’exposition : The Floating Admiral
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Du 21 juin au 9 septembre 2013. Vernissage, jeudi 20 juin 2013.
Dans le cadre de la saison Nouvelles Vagues au Palais de Tokyo.
avec : Francis Alÿs, Isabelle Cornaro, Hans-Peter Feldmann, Nicolas Floc’h, Mario García Torres, Germain Hamel, Nathan Hylden, Zhanna Kadyrova, Kitty Kraus, Hugo Pernet.
commissariat : Ana Mendoza Aldana & Cartel de Kunst.
Germain Hamel, “Sans titre (Canvas)”, 2012 Peinture vinylique sur toile. 33 x 46 cm. Photo : Aurélien Mole© ; courtesy Palais de Tokyo.
Zhanna Kadyrova, « Data extraction – Kiev », 2011 Asphalte, métal, résine époxy. 160 x 285 cm. Photo : Aurélien Mole© ; courtesy Palais de Tokyo.
Hugo Pernet, “Rouge, Jaune, Bleu”, 2009-2012. Acrylique. Photo : Aurélien Mole© ; courtesy Palais de Tokyo.
Nathan Hylden, “Untitled”, 2010. Acrylique sur aluminium. Photo : Aurélien Mole© ; courtesy Palais de Tokyo.
Nicolas Floc’h, “Peintures Recyclées”, 2002-2004. Tubes en métal, bouchons plastiques, papier, encre, peinture (huile ou acrylique). Photo : Aurélien Mole© ; courtesy Palais de Tokyo.
Mario García Torres, “An Undisclosed Month in 1953″, 2007. CD Audio 1’05”. Photo : Aurélien Mole© ; courtesy Palais de Tokyo.
Isabelle Cornaro, « Floues et Colorées », 2010. 16 mm transféré sur support numérique (master beta num et DVD pour projection). Photo : Aurélien Mole© ; courtesy Palais de Tokyo.
Francis Alÿs, « Painting / Retoque », 2008. Photo : Aurélien Mole© ; courtesy Palais de Tokyo.
Kitty Kraus, « Untitled (Ice Lamp) », 2006. Glace, encre, prise électrique, ampoule et câble. Photo : Aurélien Mole© ; courtesy Palais de Tokyo.
Kitty Kraus, « Untitled (Ice Lamp) », 2006. Glace, encre, prise électrique, ampoule et câble. Photo : Aurélien Mole© ; courtesy Palais de Tokyo.
Hans-Peter Feldmann, « Sea Paintings », 2012. Dimensions variables, 15 huiles sur toiles anciennes (1850-1950) encadrées. Photo : Aurélien Mole© ; courtesy Palais de Tokyo.
Photo : Aurélien Mole© ; courtesy Palais de Tokyo.
Photo : Aurélien Mole© ; courtesy Palais de Tokyo.
Photo : Aurélien Mole© ; courtesy Palais de Tokyo.
Photo : Aurélien Mole© ; courtesy Palais de Tokyo.
Photo : Aurélien Mole© ; courtesy Palais de Tokyo.
Photo : Aurélien Mole© ; courtesy Palais de Tokyo.
Photo : Aurélien Mole© ; courtesy Palais de Tokyo.
Photo : Aurélien Mole© ; courtesy Palais de Tokyo.
Photo : Aurélien Mole© ; courtesy Palais de Tokyo.
Photo : Aurélien Mole© ; courtesy Palais de Tokyo.
Photo : Aurélien Mole© ; courtesy Palais de Tokyo.
Photo : Aurélien Mole© ; courtesy Palais de Tokyo.
Photo : Aurélien Mole© ; courtesy Palais de Tokyo.
Qu’est-ce que The Floating Admiral?
The Floating Admiral est un roman policier publié en 1931. Inspiré par le jeu du cadavre exquis, il est le fruit de la collaboration de quatorze écrivains membres du Detection Club.
Le travail de tout commissaire d’exposition s’apparente à celui de ces auteurs. En exposant l’œuvre, le commissaire prolonge l’histoire entamée par l’artiste, soit en suivant le chemin esquissé par ce dernier, soit en proposant un contexte nouveau mais tout aussi fertile à la réflexion. Toute exposition est un ensemble cohérent où chaque œuvre apporte une piste essentielle à la lecture des autres pièces et à la lecture du récit dans sa totalité : l’exposition elle-même.
Le travail de tout commissaire d’exposition s’apparente à celui de ces auteurs. En exposant l’œuvre, le commissaire prolonge l’histoire entamée par l’artiste, soit en suivant le chemin esquissé par ce dernier, soit en proposant un contexte nouveau mais tout aussi fertile à la réflexion. Toute exposition est un ensemble cohérent où chaque œuvre apporte une piste essentielle à la lecture des autres pièces et à la lecture du récit dans sa totalité : l’exposition elle-même.
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Pour The Floating Admiral, Ana Mendoza Aldana invite ses collègues de Cartel de Kunst à rejouer le jeu. À chaque commissaire revient un chapitre, la seule règle étant de reprendre la réflexion là ou le commissaire précédent l’a laissée.
Si dans le roman c’est le meurtre de l’Amiral Penistone qui fait l’objet de l’enquête, au sein de l’exposition, les commissaires proposent des pistes pour tenter d’élucider la mort de la peinture. à la fin des années 1960, des critiques d’art et de nombreux artistes proclament la disparition de cette pratique au profit d’autres expressions artistiques. Le but de l’exposition n’est pas de résoudre en définitive l’énigme de cette mort, mais plutôt, de sonder le panorama artistique contemporain et de mettre en évidence les nouvelles pratiques de la peinture aujourd’hui.
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Dans l’ouvrage de 1931, après la rédaction du chapitre attribué, chaque auteur imaginait sa propre résolution de l’intrigue, qu’il gardait en secret jusqu’à la fin de l’écriture du roman. Ces différents dénouements de l’histoire, publiés à la fin du livre, sont autant de résolutions possibles du crime. Le catalogue accompagnant The Floating Admiral est l’occasion pour chaque commissaire de développer les chapitres qui lui succèdent, l’idée étant de produire un catalogue de l’exposition et de toutes ses formes virtuelles.
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Suivez l’évolution de l’exposition sur : thefloatingadmiral.com
Ana Mendoza Aldana 